Voici un guide pour le moins original pour découvrir ou redécouvrir les rues de Paris. Canidé aussi fantasque que naïf Chien pourri vit de folles aventures accompagnés de son fidèle compagnon le chat de gouttière Chapala.
Sorti en salles le 7 octobre dernier, Chien pourri, La vie à Paris est une invitation au voyage, au rire et aussi l’occasion pour petits et grands de voir animé l’un des héros de la littérature jeunesse.
Mais comment donne-t-on vit à ce personnage culte de la littérature jeunesse crée par l’auteur Colas Gutman et l’illustrateur Marc Boutavant ? Quel voix doit-on lui attribuer ? Peut-on reprendre les mêmes histoires ou faut-il en inventer d’autres ? Et comment se sent-on quand on donne vie à un personnage culte de sa jeunesse ?
Du roman à l’écran
Pour répondre à toutes ces questions, et à bien d’autres, Nolwenn Thivault est allée à la rencontre de ceux qui ont fait que Chien pourri, La vie à Paris devienne une réalité.
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Par ordre d’écoute, vous entendrez les précisions du scénariste Jean Regnaud, Hélène Millot responsable éditorial à l’école des loisirs qui édite les livres de Chien Pourri, Doris Gruel, chargée du développement jeune public pour Little KMBO, Davy Durand, co-réalisateur du film, Emmanuele Petry Sirvin, productrice pour Dandeloo co-productrice du film et Laetitia Scherier, programmatrice et médiatrice jeune public au cinéma l’Étoile à La Courneuve.
Le podcast de Little KMBO a été produit par Narrason. Il explore le monde du cinéma d’animation destiné aux plus petits en accompagnant le travail pédagogique élaboré à l’occasion de chaque sortie des films de ce label. Ce podcast ouvre le débat et donne la parole aux auteurs, aux artistes qui ont contribué aux films pour mettre en lumière la conception et la réalisation d’un film.
Cet épisode du podcast de Little KMBO a été produit par Narrason.
Les entretiens, la voix de narration et la mise en ondes ont été réalisés par Nolwenn Thivault.
La production éditoriale a été réfléchie avec Aurélie Brousse.
Antoine Larcher est venu en renfort à la réalisation et François Paillet en a assuré la mise en ondes et le mixage. Le Design sonore a été assuré par Benjamin Greuzat pour servir la musique originale choisie chez Universal Musique.
